Hans Giébe à Paris, à côté de la Tour de Saint-Jacques-de-la-Boucherie. |
Gérard de Nerval]
Ô
frère qui habites
les ombres
de la statique pierre
je suis venu à
ta tombe
où encore
ta voix s'élève
nous sommes le
lignée de la nuit
je dédaigne les mots
parce qu'ils oublient
l'éternité du vent
de l'aube
de la brise
et le chant aigre-douce
des corbeaux
Je veux revivre
les antiques rituels
du verbe,
donc j'évoque le silence.
* * *
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